Dans les pas de nos pères : événement
Cet événement spirituel, culturel et éducatif comprenait des marches totalisant 60 km le long des routes des libérateurs canadiens, des commémorations sincères et de joyeuses festivités. L'événement à thème militaire comprenait des promenades guidées, des commémorations sincères, des événements culturels et des célébrations.
Le flambeau canadienne du Souvenir a accompagné les participants de l'IOFF à travers les Pays-Bas et a pris part à une cérémonie spéciale de « passage du flambeau à la prochaine génération » avec la princesse Margriet au palais Het Loo à Apeldoorn.
Sur les traces de nos pères : documentaire
Produit par Orange Films, une société cinématographique néerlandaise, le documentaire est tourné au Canada et aux Pays-Bas.
Visite virtuelle de mai 2020
Lorsque l'IOFF a été reporté en 2020 en raison de la pandémie, sa visite virtuelle de mai 2020 a marqué de loin le 75e anniversaire de la libération des Pays-Bas dans une série de deux semaines de publications vidéo sur les réseaux sociaux filmées sur place dans les villages néerlandais de l'itinéraire de l'IOFF.
Sur les traces de nos pères (plan original 2020)
Une perspective personnelle
Le pouvoir du souvenir
-- Fondatrice, IOFF, Karen Hunter, dont le père, le lieutenant Gilbert Hunter a servi dans l'ARC pendant la Seconde Guerre mondiale
« Mon père a assisté aux 40e et 50e anniversaires de la libération néerlandaise aux Pays-Bas. Comme la plupart des anciens combattants canadiens, il avait rarement parlé de son expérience de guerre. Mais, quelque chose à propos de ces événements a tout changé. Jusque-là, mon père – comme le garçon hollandais, Hans Brinker – avait tenu son doigt dans une gouine privée. Puis, quatre ans après sa deuxième visite, à l'occasion de son 80e anniversaire, il m'a présenté un mémoire qu'il avait écrit intitulé "Les années de guerre". Pour moi, cela a ouvert une porte que j'avais supposée resterait toujours fermée. Neuf ans plus tard, mon père est décédé.
Ses mémoires sont devenus mon inspiration pour un voyage spirituel semblable à un voyage d'ascendance dans «l'ancien pays». Lorsque j'ai invité plus de 150 descendants d'anciens combattants canadiens de la Seconde Guerre mondiale à se joindre à moi, « Dans les pas de mes pères » est devenu « Dans les pas de nos pères ». Les participants m'ont dit qu'ils se sentaient « obligés » de venir, que le voyage était « un rêve devenu réalité » et qu'ils auraient le « cœur brisé » si, pour une raison quelconque, ils ne pouvaient pas y aller. Au fur et à mesure que la liste d'attente du voyage s'allongeait, j'ai réalisé que j'avais à peine effleuré la surface de l'énorme désir latent de commémoration au Canada.
